En octobre 2018, une copropriété située sur l’Île Saint Louis à Paris a désigné Homeland en qualité de nouveau syndic.
En plus d’avoir réduit ses honoraires de syndic de moitié (l’ancien syndic était en place depuis très longtemps), voici comment nous lui avons évité une dépense de travaux très significative.
Cette copropriété souffrait d’une infiltration par la toiture qui provoquait des dommages dans un appartement du dernier étage depuis bientôt un an.
Après avoir mandaté un architecte pour étudier la situation et proposer des solutions, l’ancien syndic avait préconisé une réfection globale de la toiture et des solins de cheminées pour un montant de 60 K€ incluant les honoraires de l’architecte et ses honoraires de suivi de travaux.
Lors de l’assemblée générale qui venait de nous désigner syndic et qui devait voter sur le lancement de ces travaux, le conseil syndical nous a indiqué qu’il n’y était pas favorable. Après étude des devis, nous avons exprimé notre étonnement sur le montant des dépenses et nous sommes engagés à faire réaliser de nouvelles études en vue d’obtenir un second diagnostic.
Nous avons donc missionné une entreprise spécialisée en recherche de fuite qui avait déjà obtenu de très bons résultats sur des dossiers similaires dans d’autres copropriétés gérées par Homeland. Deux techniciens cordistes sont intervenus sur site pendant une demi-journée pour un coût total de 594 € TT (tarif spécial négocié dans le cadre d’un accord-cadre conclu avec l’entreprise), dans le but de rechercher l’origine de la fuite et le cas échéant de procéder aux réparations nécessaires.
Leur constat fut le suivant : aucun désordre infiltrant sur la couverture, les corps d’enduit et solins des cheminées, mais simplement un défaut d’étanchéité sur la rive en revêtement bitumineux en mitoyenneté. Ils ont donc effectué une reprise d’étanchéité sur l’ensemble de la zone en désordre, ce qui suffisait à mettre fin aux infiltrations dans l’appartement du dernier étage.
Suite à notre intervention, les infiltrations dans l’appartement en question ont cessé, les dommages ont pu être pris en charge par l’assurance grâce à la neutralisation de la cause et la copropriété a évité 60 K€ de travaux.