Alors que plusieurs nouveaux acteurs du secteur ont annoncé des plans de sauvegarde de l'emploi et des vagues de licenciement, Homeland a embauché 10 personnes cet été et en prévoit 15 de plus avant la fin de l'année pour atteindre 100 salariés. Comment expliquer un tel écart ?
Un ADN historique tourné vers la rentabilité
Homeland, seul syndic de France à être "entreprise à mission", a depuis ses débuts toujours favorisé la rentabilité plutôt qu'une croissance effrénée financée par des levées de fonds.
Pendant ses trois premières années, Homeland s’est auto-financé. Ce parcours inhabituel a séduit les fonds Newfund, Reflexion Capital et la Banque des Territoires, qui investissent majoritairement dans des sociétés sur des trajectoires de croissance rentable.
Une croissance qui repose sur le bouche à oreille et la notoriété
Homeland a développé son portefeuille de 500 copropriétés jusqu'à aujourd'hui grâce :
- A sa notoriété sur internet (50%)
- Au bouche à oreille et un système de parrainage (30%)
- A son offre dédiée aux immeubles neufs (20%)
- A 2 premières acquisitions de portefeuilles réussies (10%)
Une excellence opérationnelle couplée à une gestion saine
En 6 ans, l’offre inédite d’Homeland qui repose sur une disponibilité 24/7, un gestionnaire dédié épaulé par des pôles d’expertise en interne a fait ses preuves : 97% des copropriétés reconduisent Homeland d’une année à l’autre.
C’est cette excellence opérationnelle et ce fort taux de rétention qui ont permis à Homeland de se développer sans avoir recours à des dépenses marketing massives.